Bristol Myers Squibb (BMS), société biopharmaceutique de premier plan, publie aujourd’hui les résultats belges d’un exercice d’écoute intensive menée dans le cadre de son projet « Parce que nous pouvons aller plus loin ». Des patients, aidants et professionnels de la santé révèlent les plus grands défis qu’ils doivent relever face à une maladie, ce qu’ils pensent des entreprises pharmaceutiques et les domaines dans lesquels ils estiment que ce secteur pourrait offrir davantage de soutien. La publication du rapport constitue le point de départ d’un engagement plus profond avec différents acteurs des soins de santé, avec pour objectif final de nouvelles collaborations et des mesures pertinentes.
Le rapport « Parce que nous pouvons aller plus loin » de BMS, mené en collaboration avec Ipsos, décrit les besoins des patients, des associations de patients, des aidants et des médecins interrogés et cible les domaines dans lesquels ils estiment que les entreprises pharmaceutiques peuvent agir davantage tout au long de la maladie pour améliorer l’expérience patient. Les médecins et les patients considèrent que le rôle du secteur pharmaceutique va au-delà du simple développement de nouveaux médicaments. Au total, 89 % des médecins interrogés sont d’accord ou tout à fait d’accord pour dire que l’industrie pharmaceutique doit améliorer la qualité de vie des patients et 73 % des patients interrogés sont d’accord ou tout à fait d’accord pour dire que les entreprises pharmaceutiques devraient être fortement impliquées dans notre société1.
L'étude complète est disponible via ce lien. Voici quelques-unes des principales conclusions:
Les entreprises pharmaceutiques pourraient jouer un rôle plus actif dans l’éducation thérapeutique
En effet, 30 % des patients et des aidants qui ont participé à l’enquête voudraient que l’éducation à la maladie soit davantage soutenue par les entreprises pharmaceutiques2 ; un pourcentage nettement supérieur à la moyenne européenne (14 %). Par ailleurs, 23 % des répondants estiment que la compréhension de la maladie fait partie des cinq étapes les plus difficiles3. Ensuite, 27 % des participants considèrent le fait d’être consultés ou de pouvoir participer aux décisions relatives au traitement comme l’un des cinq domaines dans lesquels ils souhaiteraient plus de soutien4. Du reste, 23 % des médecins participants aimeraient davantage éduquer le patient sur son état5, tandis que 15 % d’entre eux qui ont qualifié l’insuffisance d’informations sur la maladie à destination du patient comme un besoin non satisfait pensent que ce problème pourrait être résolu par une collaboration avec l’industrie pharmaceutique6.
« Outre les médecins, les organisations de patients jouent également un rôle important dans l’information des malades sur tous les aspects de leur affection et la manière de vivre avec », explique Paul Lacante, Executive Medical Director chez BMS Benelux. « Les associations qui ont participé à notre recherche exploratoire nous ont confié ne pas toujours disposer des informations les plus récentes ou les plus complètes. Elles demandent un soutien accru pour plus d’information sur le cancer, et plus particulièrement sur les nouveaux traitements. »